Le monde du cinéma est en ébullition avec l’annonce de “Jurassic World 4”, un nouvel opus qui promet de captiver les fans de la franchise. Steven Spielberg, le maître incontesté du film d’aventure, a décidé d’apporter une touche inattendue à cette suite tant attendue. Alors que les précédents volets ont su conquérir le cœur des spectateurs grâce à des effets spéciaux époustouflants et des récits palpitants, ce quatrième épisode pourrait bien redéfinir les codes établis.
Les rumeurs vont bon train et l’excitation est à son comble. Quelles surprises Spielberg réserve-t-il aux amateurs de dinosaures ? Une chose est sûre, l’attente sera récompensée.
Consultation et recommandations de Steven Spielberg
Lors de la présentation du premier montage de “Jurassic World: El renacer” à Steven Spielberg, Gareth Edwards savait qu’il accepterait toutes les suggestions du maître. Spielberg, accompagné du scénariste David Koepp, a conseillé d’éliminer les références aux films précédents de la saga ainsi que les “easter eggs”. Cette recommandation visait à éviter l’autocitation excessive, une pratique que Spielberg préfère éviter.
Bien qu’Edwards ait initialement ressenti une certaine déception, il a compris la logique derrière cette décision. En conséquence, il a retravaillé le film pour minimiser ces références, tout en parvenant à glisser quelques hommages subtils à l’œuvre de Spielberg, invisibles au premier regard.
Modifications narratives et impact sur la structure du film
Les ajustements suggérés par Spielberg ont conduit à des changements significatifs dans “Jurassic World: El renacer”. La scène d’ouverture, initialement inspirée de “Jurassic Park” avec des vélociraptors, a été supprimée. De même, le personnage animé de Mr. ADN, qui expliquait la science derrière la résurrection des dinosaures, a été retiré. Ces modifications ont permis de débuter directement avec un laboratoire en pleine activité, accentuant l’immersion immédiate du spectateur dans l’intrigue.
Ce choix narratif a renforcé la tension dès le départ, en introduisant rapidement les enjeux liés aux expériences génétiques. En éliminant ces références, le film a gagné en originalité tout en conservant une connexion subtile avec l’héritage de la saga.
Hommages subtils et réaction de Gareth Edwards
Malgré les recommandations de Spielberg, Gareth Edwards a réussi à intégrer des hommages discrets à l’univers cinématographique du réalisateur. Plutôt que d’inclure des références évidentes, il a opté pour des clins d’œil plus subtils, comme des choix de cadrage ou des motifs visuels rappelant l’esthétique de Spielberg. Par exemple, certaines scènes utilisent des jeux de lumière et d’ombre qui évoquent l’atmosphère de “Rencontres du troisième type”.
De plus, la tension narrative et le suspense sont construits de manière à rappeler l’approche de Spielberg dans ses thrillers. Ces éléments permettent à Edwards de rendre hommage à son mentor tout en respectant sa demande d’éviter les références explicites, enrichissant ainsi l’expérience cinématographique.
